Pour le tournage d’un court métrage semi-professionnel (non-rémunéré), soutenu par l’association de techniciens ARTOS, nous recherchons un homme noir d’une trentaine d’années, une femme blanche d’une trentaine d’années également.
Le tournage se déroulera du 2 au 7 janvier, hors de paris (déplacement et hébergement pris en charge).
Le Projet : « La terre de nos ancêtres » est un western hivernal se déroulant de nos jours dans la campagne française profonde. Il raconte l’histoire de Gabriel, un jeune agriculteur qui emménage dans un petit village isolé où il a acheté quelques terres pour se mettre à son propre compte. Accompagné de son jeune cousin, Malik, que sa famille au pays lui a envoyé et aidé par Céline, une jeune agricultrice du coin, il fait face à la menace d’un petit groupe de chasseurs qui voient d’un mauvais oeil ces nouveaux arrivants. Gabriel devra redoubler de courage pour défendre ses terres et protéger Malik.
Les Personnages :
Gabriel : Gabriel est un homme noir (25-35 ans) né dans une grande ville de province. Dés son enfance fait preuve d’un caractère discret et indépendant, s’éclipsant parfois pendant tout un week-end pour aller se promener dans la campagne environnante. Studieux, il se dirige vers des études d’agronomie où, dur à la tache et curieux de nature, il se montre particulièrement doué. Peu après la mort de ses parents, après avoir travaillé un temps dans une ferme appartenant à un vieux fermier, il achète des terres et se met à son compte. Héros solitaire et sans compromis, il incarne l’un de ces géants anonymes sur les épaules desquels on bâtit l’avenir.
Céline : Petite fille d’agriculteur et fille de commerçant, Céline (25-35 ans) a toujours eu une affection particulière pour la campagne de ses grands-parents. A la mort de son grand-père, elle décide contre l’avis de ses parents d’entamer des études d’agronomie. Puis elle se trouve un petit logement en collocation et se forme sur le tas au près d’un ami de ses grands parents. Elle accumule un peu d’argent et saute la première occasion qu’elle trouve d’acquérir une ferme à bas prix. Malheureusement pour elle, si pleine d’entrain en emménageant, elle ne retrouve pas l’atmosphère cordiale de camaraderie et de solidarité du temps où elle aidait son grand-père aux champs mais une profonde solitude et le harcèlement quotidien d’un groupe de chasseurs locaux. Elle ne se laisse néanmoins pas abattre et si la solitude lui est particulièrement pénible elle trouve dans le travail acharné un échappatoire bienvenu. Quand aux chasseurs elle les repousse avec une ardeur toujours renouvelée et une détermination sans faille. L’arrivée de Gabriel et Malik au village est pour elle un véritable soulagement, trouvant enfin en eux des interlocuteurs normaux avec qui échanger et mettant dés lors, toute son énergie à contribution pour les aider.